I tried to hold these tears
But it keeps falling, Over and over
As I looked down to the ground
No matter how far I run
The shade of misery will keep haunting me
Your warmth is the only thing I craved
Only the dark will stays
Its hard for me
Seeing you down there
Covered with black
And now its done
You are lifeless
I cant even say goodbye
Until seeing you dead on that day.
On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert
Alluring the distant eye, ou quand les sentiments sont aussi tumultueux que l'eau. Une superbe pochette en noir et blanc représentant le reflet en train de se briser d'un arbre dépourvu de feuilles. La tension est palpable et on ne le ressent que trop bien au cours de l'album. Damián ne cesse de superposer des ambiances très lentes, déchirantes et planantes avec une batterie et une guitare presque chaotiques, notamment sur le massif "Cerulean". Une photographie de la cassure. Œuvre superbe... Jordan Vauvert
Tokyo band contrast black metal's brutal complexity with shoegaze's abyssal grandeur, resulting in an LP that feels crushing, yet infinite. Bandcamp New & Notable Aug 24, 2022